Les mouvements nationalistes français (1920- 1945)
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Erick- Membre actif
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Re: Les mouvements nationalistes français (1920- 1945)
Ces mouvements trouvèrent leurs sources en particulier dans la maurrassien, ( mouvement nationaliste de Charles Maurras) auprès des idées de Leon Daudet, Jacques Bainville, et Maurice Pujo. Ce nationalisme, donna l action française qui veut detruire la République, et mettre une monarchie héréditaire. Maurras, comme Pujo, et Daudet attaquèrent vivement lors de l affaire Dreyfus, puis l affaire Stavisky. En 1934, le 6 février l Action Française, les Croix de feu du Colonel de la Roque, et des mouvements plus obscurs comme ceux de Marcel Deat, qui donneront une place plus tard le PPF de Doriot, se retrouvèrent lors de ces grandes manifestations, et faillirent prendre Matignon, et l assemblée nationale.
Cette période est riche tant en politique, mouvements, et géopolitique, donc tres bon choix mon ami
Cette période est riche tant en politique, mouvements, et géopolitique, donc tres bon choix mon ami
Invité- Invité
Re: Les mouvements nationalistes français (1920- 1945)
Merci cher ami pour tes anecdotes.
Juste une petite précision:
Comme tu le dis justement, si les thèses maurrassiennes ont influencé les traditionnels partis "de droite", lors des évènements dont tu parles (6 février 1934), Marcel DEAT, issu des rangs socialistes (donc peu sensible et peu influencé par Maurras) est au gouvernement en tant que Ministre de l'AIR dans le cabinet Sarraut, il ne participe donc pas à ces émeutes avec son parti (et pour cause le RNP ne sera fondé qu'en 1941)
Quant au 'Grand Jacques' DORIOT, issu lui des rangs communistes, le fondation de son parti (le PPF) date de juin 1936 donc postérieure aux évènements. De plus même si Marcel DEAT est présent aux obsèques de Jacques DORIOT en 1945, les deux hommes ne s’appréciaient guère, une des causes étant je crois (entre autres) la lutte d'influence exercée au sein de la LVF liée au noyautage de cette association par les membres de leurs partis respectifs.
Mais pour en revenir au bouquin, il est effectivement très intéressant.
Juste une petite précision:
Comme tu le dis justement, si les thèses maurrassiennes ont influencé les traditionnels partis "de droite", lors des évènements dont tu parles (6 février 1934), Marcel DEAT, issu des rangs socialistes (donc peu sensible et peu influencé par Maurras) est au gouvernement en tant que Ministre de l'AIR dans le cabinet Sarraut, il ne participe donc pas à ces émeutes avec son parti (et pour cause le RNP ne sera fondé qu'en 1941)
Quant au 'Grand Jacques' DORIOT, issu lui des rangs communistes, le fondation de son parti (le PPF) date de juin 1936 donc postérieure aux évènements. De plus même si Marcel DEAT est présent aux obsèques de Jacques DORIOT en 1945, les deux hommes ne s’appréciaient guère, une des causes étant je crois (entre autres) la lutte d'influence exercée au sein de la LVF liée au noyautage de cette association par les membres de leurs partis respectifs.
Mais pour en revenir au bouquin, il est effectivement très intéressant.
Dernière édition par Erick le Mar 12 Juil - 9:56, édité 1 fois
Erick- Membre actif
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Date d'inscription : 17/12/2012
Localisation : Hautes Pyrénées
Re: Les mouvements nationalistes français (1920- 1945)
Nous voyons la les connaisseurs, merci pour cette info mein Freund Erick, toujours à la pointe en matière de littérature
Invité- Invité
Re: Les mouvements nationalistes français (1920- 1945)
Erick a écrit:Merci cher ami pour tes anecdotes.
Juste une petite précision:
Comme tu le dis justement, si les thèses maurrassiennes ont influencé les traditionnels partis "de droite", lors des évènements dont tu parles (6 février 1934), Marcel DEAT, issu des rangs socialistes (donc peu sensible et peu influencé par Maurras) est au gouvernement en tant que Ministre de l'AIR dans le cabinet Sarraut, il ne participe donc pas à ces émeutes avec son parti (et pour cause le RNP ne sera fondé qu'en 1941)
Quant au 'Grand Jacques' DORIOT, issu lui des rangs communistes, le fondation de son parti (le PPF) date de juin 1936 donc postérieure aux évènements. De plus même si Marcel DEAT est présent aux obsèques de Jacques DORIOT en 1945, les deux hommes ne s’appréciaient guère, une des causes étant je crois (entre autres) la lutte d'influence exercée au sein de la LVF liée au noyautage de cette association par les membres de leurs partis respectifs.
Mais pour en revenir au bouquin, il est effectivement très intéressant.
merci a ton tour pour ces précisions, auxquelles j'ajoute les miennes.
Malheureusement, je pense n'être pas d'accord avec toi, sur les thèses maurrassiennes, et leurs influence sur la droite, le fascisme, et l’antisémitisme, car il a largement influencé aussi la gauche et les socialistes. Marcel Deat est d'abord considéré au sein du partie socialiste considéré comme le dauphin de Blum entre 1929 et 1931. Mais il a un positionnement plus radical vis a vis de la place de l’état, et son inscription dans le capitalisme, plus souhaitable a ses yeux que le communisme et la révolution. L’état doit être a ses yeux forts, mais sans interventionnisme à la marxiste, et il a l'objectif de placer le socialisme en tête, face au communisme, la droite n'etant pas pour lui l'ennemi héréditaire. En 1932, il bat Jacques Duclos communiste lors d'une élection, se qui montre clairement son anticommunisme.
Depuis le congrès de Tours et la scission qui en découla, Deat, se positionne sur la droite de la SFIO, et s'appui sur Renaudel, lui même prônant la prédominance socialiste face au marxisme. Mais la SFIO, ne correspond plus a sa vision du socialisme, de l’État. Il adhère alors au Parti Socialiste de France Union Jean Jaures en 1933. Ce parti se constitue en rassemblant les réformistes, les planistes ( ceux pour une planification économique) et les néo-socialistes, qui représente clairement ce qui correspond a Deat. Ces mouvements dérangent la SFIO, qui les a exclus en novembre 1933 Des lors avec ce parti DEAT, devient une force politique et de proposition, face aux socialisme non réformistes SFIO. Comme ce fut à l’époque, les gouvernements ne doivent leur légitimité qu'a des accords parlementariste, et donc Deat participe a des gouvernements non socialistes.
En 1934, lors des événements du 6 fevrier 1934, il n'est pas au gouvernement. Il a été clairement établi, en 1954 que des mouvements anticommuniste, autres que les ligues fascistes ( Croix de feu, ligues etc......)ont appuyé dans le sens de la prise du pouvoir qui aurait pu découlé de ce 6 février en particulier aupres des croix de feu, ce qui va déstabilisé de la Roque) La gauche que représente Deat le Néo Socialisme , n' a pas le même sens que celui donner par Blum ( un peu la même chose entre Valls, Macron et Hollande)
Il se rapproche alors de Marquet, Renaudel et Montagon qui eux ont commencé leur mutation vers ce neo socialisme et ses valeurs. Ils fondent le parti Union socialiste Republicaine, groupe pacifiste, mais qui souhaite une forte presence de l'Etat sur certains critères en s'appuyant sur le capitalisme. Il est membre du comité antifascite.
Lors de mai 1936, il se rallie a Blum ( ce qui permet a Blum d'avoir une majorité a l'assemblée.) et obtient en 1936, le poste de Ministre de l'aire effectivement dans le gouvernement Sarrault. Il combat le coté antisémite du partie Nazi, mais apprécie comme Montagon, Laval, Marquet, le côté état fort,
Elu deputé en 1939 sur Angouleme ( proche de Marquet qui est sur Bordeaux et de Philippe Henriot), sur une liste anticommuniste . Il s'oppose a la mobilisation general en septembre 1939, de part ces convictions pacifistes et attaquent violement la troisieme republique et ses representants Mendes France, Mandel, Zay, Daladier, Blum et autres. il soutien l'armistice de Petain . Proche de Laval, mais pas du tout apprecié par Petain, il part pour unifier les mouvements collaborationistes. En 1941, il fonde le RNP, parti socialiste et europeen tout un programme.
le 6 fevrier 1934 est pour beaucoup l'element declencheur.
Invité- Invité
Re: Les mouvements nationalistes français (1920- 1945)
Bonsoir,
"Le débat permet l'élévation de l'esprit"
Cher Rémy,
Concernant le 6 février 1934, tu as raison DEAT n'était pas au gouvernement je plaide donc coupable.
Mais si je suis d'accord avec toi sur l'influence de Maurras sur les mouvements de droite bien sûr et de gauche certainement, je reste dubitatif quant à son influence sur DEAT.
Comme tu le dis si bien, Marcel DEAT est un planiste il épouse les thèses d'Henri de MAN (fondateur du Parti Ouvrier Belge et théoricien du Planisme). Mais là où je m'interroge c'est comment peut-il avoir souscrit aux préceptes maurrassiens pour déclarer ensuite dans le journal
L'Oeuvre, 21 mars 1941 :
"Il ne peut pas ne pas y avoir accord profond entre Maurras et Churchill. La collusion est évidente. Tout ce qui est contre l'Allemagne et la révolution européenne est dans le camp maurrassien. Les juifs de Vichy ont certainement répondu avec un sûr instinct et un sincère enthousiasme aux appels de fonds de l'Action Française. Quant aux francs-maçons d'outre-mer, ce sont des gens très bien. Les foudres de Maurras ne sont pas pour eux. (...) On prépare tout pour le coup de force. La politique maurrassienne est essentiellement « revancharde ». Sa germanophobie délirante, sa passion chauvine, sans retenue ni bon sens, sont au premier chef, opposées à tout ce qui peut ressembler à une entente européenne et à une collaboration franco-allemande."
L'élève n'aurait donc plus aucun respect pour le Maître ??
"Le débat permet l'élévation de l'esprit"
Cher Rémy,
Concernant le 6 février 1934, tu as raison DEAT n'était pas au gouvernement je plaide donc coupable.
Mais si je suis d'accord avec toi sur l'influence de Maurras sur les mouvements de droite bien sûr et de gauche certainement, je reste dubitatif quant à son influence sur DEAT.
Comme tu le dis si bien, Marcel DEAT est un planiste il épouse les thèses d'Henri de MAN (fondateur du Parti Ouvrier Belge et théoricien du Planisme). Mais là où je m'interroge c'est comment peut-il avoir souscrit aux préceptes maurrassiens pour déclarer ensuite dans le journal
L'Oeuvre, 21 mars 1941 :
"Il ne peut pas ne pas y avoir accord profond entre Maurras et Churchill. La collusion est évidente. Tout ce qui est contre l'Allemagne et la révolution européenne est dans le camp maurrassien. Les juifs de Vichy ont certainement répondu avec un sûr instinct et un sincère enthousiasme aux appels de fonds de l'Action Française. Quant aux francs-maçons d'outre-mer, ce sont des gens très bien. Les foudres de Maurras ne sont pas pour eux. (...) On prépare tout pour le coup de force. La politique maurrassienne est essentiellement « revancharde ». Sa germanophobie délirante, sa passion chauvine, sans retenue ni bon sens, sont au premier chef, opposées à tout ce qui peut ressembler à une entente européenne et à une collaboration franco-allemande."
L'élève n'aurait donc plus aucun respect pour le Maître ??
Erick- Membre actif
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Localisation : Hautes Pyrénées
Re: Les mouvements nationalistes français (1920- 1945)
Bravo les amis! Un débat entre fins connaisseurs sur cette période, génial!
Gustav- Commissaire du forum
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Age : 55
Localisation : Saint Jean d'Illac
Re: Les mouvements nationalistes français (1920- 1945)
Mon cher Padawan, Erick, il est toujours bien de discourir et d argumenter avec un homme dont la verve et la plume, nous permettre de nous inscrire vers la quête que chaque homme cherche en vain, et en lui la vérité. Le regretté Lao Tseu, ( quej ai tres bien connu d aailleurs) disait: l homme sage connaît ses limites.
Je te remercie pour cet article que je ne connaissais pas, et qui démontre le positionnement de Deat, mais en 1941. Le contexte est la, comme nous le savons,bien ddifférent de celui entre 1920 a 1939.
Les thèses de Maurras, qui aujourd'hui sont en exergues se basent uniquement, dans la vision obtue de ce siecle, sur le côté anti sioniste et antisémitisme. Mais ces theses ont aussi une couleur nationaliste, vertue du pays, et de l etat fort. Ces theses furent tres fortement relayer par Deat, Montagon et Marquet, et ce courant neo socialisme.
Certes l influence sur Deat ne se trouve que sur cet aspect la, et je te l accorde loin des theories de la supériorité de la race blanche, l antisémitisme.
L histoire, n est point lisible que d un oeil. Dieu, dans sa grande bonté, nous en a doté de deux, ce qui nous permet outre de lire entre les lignes, mais aussi d y voir les différentes couleurs. Cette periode trouble, vue les etres blancs se doté de noir et inversement. Les courants de pensees, les positionnement politiques furent mis a rudes epreuves, et vurent leurs lignes grandement bougees, la preuve Deat participa au gouvernement de Petain qui inscrit dans la collaboration et dans les lois antijuive. Deat aussi, en presence de Marquet, recontra aussi Deloncle.
Deat est comme l histoire, interessant de par sa complexité, complexe de part son intéressement.
Quant a Doriot, la aussi tout n est pas blanc tout n est pas noir....
Je te remercie pour cet article que je ne connaissais pas, et qui démontre le positionnement de Deat, mais en 1941. Le contexte est la, comme nous le savons,bien ddifférent de celui entre 1920 a 1939.
Les thèses de Maurras, qui aujourd'hui sont en exergues se basent uniquement, dans la vision obtue de ce siecle, sur le côté anti sioniste et antisémitisme. Mais ces theses ont aussi une couleur nationaliste, vertue du pays, et de l etat fort. Ces theses furent tres fortement relayer par Deat, Montagon et Marquet, et ce courant neo socialisme.
Certes l influence sur Deat ne se trouve que sur cet aspect la, et je te l accorde loin des theories de la supériorité de la race blanche, l antisémitisme.
L histoire, n est point lisible que d un oeil. Dieu, dans sa grande bonté, nous en a doté de deux, ce qui nous permet outre de lire entre les lignes, mais aussi d y voir les différentes couleurs. Cette periode trouble, vue les etres blancs se doté de noir et inversement. Les courants de pensees, les positionnement politiques furent mis a rudes epreuves, et vurent leurs lignes grandement bougees, la preuve Deat participa au gouvernement de Petain qui inscrit dans la collaboration et dans les lois antijuive. Deat aussi, en presence de Marquet, recontra aussi Deloncle.
Deat est comme l histoire, interessant de par sa complexité, complexe de part son intéressement.
Quant a Doriot, la aussi tout n est pas blanc tout n est pas noir....
Invité- Invité
Re: Les mouvements nationalistes français (1920- 1945)
Bonjour,
Toujours dans la même veine, un autre ouvrage plus abordable financièrement (14 euros sur Amazon) mais traitant le sujet sous un aspect moins exhaustif mais plus local (le grand Sud-Ouest)
Extrait:
Ce volume est le premier d’une série consacrée au Sud-Ouest de la France.
Une demi-douzaine de pages introduisent le projet, les sources utilisées, les correspondants locaux qui ont participé au projet ainsi qu’un résumé des principaux mouvements et organisations qui vont être présentés dans l’ouvrage : la Légion française des combattants, le S.O.L. et la Milice française, le P.P.F. de Jacques Doriot, le R.N.P. de Marcel Déat, le Francisme de Marcel Bucard, le M.S.R. de Eugène Deloncle, les amis de la L.V.F., les volontaires dans les unités militaires allemandes (Waffen-SS, L.V.F., N.S.K.K., Organisation Todt, Kriegsmarine…) et enfin les auxiliaires français du Sipo-SD.
Près de 90 personnages sont présentés dans ce livre, des chefs locaux aux simples militants. On s’aperçoit rapidement que chaque cas est particulier : ultra collaborateur, administrateur attentiste, déçu de l’Ordre Nouveau, futur résistant ou encore « égaré » au sein de la multitude des mouvements de la Collaboration.
Certaines personnes sont honnêtes dans leur combat, d’autres sont à la manœuvre.
Les conflits de personnes sont très nombreux, sans parler des éternelles frictions entre les partis collaborationnistes.
Mais la principale caractéristique des engagés dans la collaboration est le cumul des postes et des activités au sein de l’Ordre Nouveau.
Il est difficile de généraliser le parcours de chaque individu, mais on retrouvera les « jeunes » nés au début du XXe Siècle, dans le S.O.L., la Franc-Garde, ou comme volontaire dans les unités militaires et de police sous contrôle allemand, voire comme recruteur pour celles-ci.
Les anciens de la Première Guerre mondiale auront un parcours souvent moins « mouvementé », restant à des postes administratifs souvent peu gratifiants (Légion française des combattants par exemple).
Un certain nombre d’entre eux vont se distinguer par leur germanophobie latente, bien décidés à préparer « la revanche » par tous les moyens.
Toujours dans la même veine, un autre ouvrage plus abordable financièrement (14 euros sur Amazon) mais traitant le sujet sous un aspect moins exhaustif mais plus local (le grand Sud-Ouest)
Extrait:
Ce volume est le premier d’une série consacrée au Sud-Ouest de la France.
Une demi-douzaine de pages introduisent le projet, les sources utilisées, les correspondants locaux qui ont participé au projet ainsi qu’un résumé des principaux mouvements et organisations qui vont être présentés dans l’ouvrage : la Légion française des combattants, le S.O.L. et la Milice française, le P.P.F. de Jacques Doriot, le R.N.P. de Marcel Déat, le Francisme de Marcel Bucard, le M.S.R. de Eugène Deloncle, les amis de la L.V.F., les volontaires dans les unités militaires allemandes (Waffen-SS, L.V.F., N.S.K.K., Organisation Todt, Kriegsmarine…) et enfin les auxiliaires français du Sipo-SD.
Près de 90 personnages sont présentés dans ce livre, des chefs locaux aux simples militants. On s’aperçoit rapidement que chaque cas est particulier : ultra collaborateur, administrateur attentiste, déçu de l’Ordre Nouveau, futur résistant ou encore « égaré » au sein de la multitude des mouvements de la Collaboration.
Certaines personnes sont honnêtes dans leur combat, d’autres sont à la manœuvre.
Les conflits de personnes sont très nombreux, sans parler des éternelles frictions entre les partis collaborationnistes.
Mais la principale caractéristique des engagés dans la collaboration est le cumul des postes et des activités au sein de l’Ordre Nouveau.
Il est difficile de généraliser le parcours de chaque individu, mais on retrouvera les « jeunes » nés au début du XXe Siècle, dans le S.O.L., la Franc-Garde, ou comme volontaire dans les unités militaires et de police sous contrôle allemand, voire comme recruteur pour celles-ci.
Les anciens de la Première Guerre mondiale auront un parcours souvent moins « mouvementé », restant à des postes administratifs souvent peu gratifiants (Légion française des combattants par exemple).
Un certain nombre d’entre eux vont se distinguer par leur germanophobie latente, bien décidés à préparer « la revanche » par tous les moyens.
Erick- Membre actif
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Re: Les mouvements nationalistes français (1920- 1945)
Comment, des collaborateurs dans le sud ouest ? Tout le monde sait et surtout aujourd'hui, qu il y eu moins de collabos que de resistants! La preuve, entre 1960 et a nos jours le nombres de résistants dans le sud ouest et supérieur aux nombres de collaborateurs et dattebtistes! Merci pour cette info, qui nous permettra je lespere d y voir plus clair!
Invité- Invité
Re: Les mouvements nationalistes français (1920- 1945)
Bonjour,
Un très bon bouquin que cette encyclopédie, avec notamment les photos, identités et biographies de nombreux sympathisants de la collaboration dans le sud-ouest. Un remarquable travail de recherches. Il y a même le texte complet du règlement général de la milice française, un document relativement peu connu qui en régit le fonctionnement et les grades, bref le document fondateur de ce mouvement.
Un bon livre à un prix modique pour les lecteurs intéressés par ce sujet bien sûr.
Un très bon bouquin que cette encyclopédie, avec notamment les photos, identités et biographies de nombreux sympathisants de la collaboration dans le sud-ouest. Un remarquable travail de recherches. Il y a même le texte complet du règlement général de la milice française, un document relativement peu connu qui en régit le fonctionnement et les grades, bref le document fondateur de ce mouvement.
Un bon livre à un prix modique pour les lecteurs intéressés par ce sujet bien sûr.
Erick- Membre actif
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